Un petit bilan, quelques mois après la sortie de l’Iliade; les retours sont dans l’ensemble très positifs, et la série a été très bien accueillie par le public. Déjà la troisième réédition! Un kif personnel, voir l’image ci-dessous:
Bon, c’est juste sur Amazon, le temps d’une journée, et OK je me la pète un peu… Mais pour une fois que je suis number one, j’ai le droit! Et quand je dis que je suis number one, c’est une façon de parler, il s’agit vraiment d’un travail d’équipe, je ne suis qu’un maillon de la chaîne.
Un florilège des critiques:
Sur Sceneario.com:
« La narration est très bien aérée, avec ce qu’il faut de dialogues, d’action, on comprend tout à fait les enjeux et les diverses manigances ! C’est parfait !
Graphiquement, c’est du travail plus qu’honnête. Les décors, les détails vestimentaires, les différents portraits proposés dans ces planches sont extrêmement précis et subtiles. Pierre Taranzano nous propose un excellent album, remarquablement mis en couleur par Bruno Stambecco.
Ce qui aurait pu être un exercice un peu casse gueule se conclue par un très beau premier volume, que je vous conseille vivement! »
Sur BD-Gest:
« les séquences s’enchaînent facilement et il est finalement aisé de (re)plonger dans ce mythe universel et de se laisser porter par la fluidité de la narration et le rythme assez élevé, la scénariste ne s’embarrassant pas d’éléments trop complexes.
Sous la direction artistique (création de l’univers graphique et des story-boards ainsi que supervision des différents crayonnés pour maintenir une certaine homogénéité) de Didier Poli, Pierre Taranzano délivre un dessin réaliste certes attendu sur ce genre de récit, mais dont il est difficile de nier l »efficacité lorsqu’il faut composer avec les nombreux personnages et faire ressortir le caractère épique de l’aventure. »
Sur BD-Theque:
(extraits de 3 avis)
« Objectivement cet album est une franche réussite. Le dessin de Pierre Taranzano est stupéfiant de part son trait fin d’une grande richesse, certaines de ses compositions en double page sont à se taper le cul par terre et nul doute que l’apport de Didier Poli à la conception graphique n’y est pas innocente. »
« Ici encore, j’aime le dessin qui possède une similitude avec celui de Prométhée et la boîte de Pandore, il est peut-être plus costaud. Et là aussi, Clotilde Bruneau réussit du beau travail en adaptant cette guerre de Troie et en déroulant les épisodes connus : les origines du récit, la pomme de Discorde, le jugement de Pâris, la colère d’Achille, l’orgueil du fier Agamemnon… »
« Le récit est fidèle à celui d’Homère. Comme lui il ne raconte pas la Guerre du Troie du début à la fin mais seulement une période précise peu de temps avant sa fin. Les auteurs font quand même le choix d’ajouter quelques flash-back permettant d’expliquer mieux la situation et notamment, pour ce qui est du premier tome, toute l’histoire autour de la Pomme de Discorde qui fut le véritable déclencheur de ce qui allait devenir le conflit entre Troyens et Achéens. En ce sens, la complexité des relations entre Dieux et comment ils manipulent les hommes pour parvenir à leurs fins est très bien rendue. C’est intelligent, bien raconté, clair et bien rythmé. »
Sur Forty Five Weeks:
« Le dossier de presse m’avait déjà séduite, la lecture des deux premiers albums a fini de me convaincre : pour moi c’est une réussite. J’ai effectivement eu l’impression d’un scénario souhaitant respecter les sources antiques, sans « pollution hollywoodienne », ainsi que l’exprime Luc Ferry (à l’origine de la collection). D’autre part, les costumes et accessoires sont représentés d’une façon conforme aux découvertes archéologiques (…)
L’ensemble forme, à mon goût, un parfait mélange de réalisme et de magie. Bref, bonne pioche ! »
Sur France net infos
« Les deux bandes dessinées sont plaisantes à découvrir et à lire, pour suivre ces dieux ou ces héros de la mythologie, qui font partie de la culture générale. Une approche ludique, sous ce format plaisant qui parlera à tous, petits et grands. Une fascination qui n’en finit pas pour ces mythes et ces différents récits fondateurs qui s’emparent ici, plutôt bien, de la bande dessinée. »
Sur Izneo
« L’histoire est très bien racontée. Les dessins sont très beaux. On a même droit à des explications supplémentaires en fin d’albums, pour compléter nos connaissances. On voit ce qui se passe aussi chez les dieux, qui se font la guerre entre eux, avec un Zeus qui se trouve au milieu de toutes les querelles. Mais l’histoire n’est pas terminée. Vivement la suite. »
Sur l’Avis Indépendant:
« Ceux qui sont fans de la mythologie grecque retrouveront des images magnifiques.
En couverture intérieure, on peut y lire les différents dieux et déesses grecs.
C’est une manière plutôt agréable de découvrir une œuvre majeure.
Ouvrage bien illustré et agréable à lire, un moyen facile de se cultiver. »
Sur Unidivers:
« N’allez pas chercher plus loin si vous souhaitez faire un cadeau intelligent à vos chères têtes blondes : cette collection, destinée à se développer, répond à vos attentes. L’exactitude historique est, sous tous ses aspects, rigoureusement respectée. »
Et même sur Historia:
« Très fidèle au texte original, le scénario ne raconte pas l’ensemble de la guerre de Troie, mais se focalise sur la querelle des chefs grecs et la colère d’Achille. En revanche, le dessinateur a dû opérer des choix autant esthétiques qu’historiques, car les poèmes homériques intègrent des éléments anachroniques entre eux – et on ne sait toujours pas vraiment quand s’est déroulée cette guerre, ni même si elle a eu lieu. Les hommes qui s’affrontent ont plus ou moins l’apparence de guerriers du IIe millénaire av. J.-C. – certains arborent même ces casques de cuir couverts de défenses de sanglier décrits par Homère et retrouvés lors de fouilles. »
Et en bonus, une chroniques très positive aussi du tome 4 des Portes de Shamballah, sur Sceneario.com:
« Force est de constater que ce dernier tome garde toute sa puissance mystique et nous livre, au travers d’un travail aiguisé sur l’interpénétration de différentes époques, une équipée fantastique énergique, portée par une intrigue prégnante (…) La prestation picturale de Pierre Taranzano sur cet album reste à la hauteur des opus précédents. Œuvrant dans un réalisme très agréable et bien inspiré, son dessin met en avant un message clair, dynamique à souhait et découpé adroitement. On saluera tout particulièrement ses planches en couleurs directes où il représente le monde éthéré et celles avec des aplats de noir qui suscitent bien des sensations (le rituel d’invocation d’Aïfass par exemple). »