Dans Sceneario.com (je l’ai déjà dit mais ça me fait plaisir):
« Quand un roman de Bernard Werber, est adapté par Eric Corbeyran, on peut s’attendre à du lourd, de l’aventure, de l’érudition, un soupçon de fantaisie et d’humour. Les Thanatonautes ne déroge pas à la règle et ce premier opus pose très lisiblement les bases d’une aventure étrange, d’une odyssée fantastique vers un territoire inconnu. Science et philosophie, religion et matérialisme vont se côtoyer et s’affronter dans ce voyage où les nouveaux explorateurs, à l’instar des Lindenbrock ou des Saknussem de Jules vernes, vont peut-être découvrir un nouvel et étrange continent.
Le dessin réaliste de Pierre Taranzano, dont on a pu apprécier le talent dans les Portes de Shamballah, donne toute son énergie à cette aventure qui, dans un tome de mise en place des personnages et de l’intrigue, démarre très fort.
Son trait expressif traduit fort bien les sentiments des protagonistes et les caractères très différents des deux principaux personnages et, quand ça cogne, on a mal pour eux. »
Dans Actua BD:
« Sur la structure très maîtrisée et très documentée du romancier (qui met en parallèle la façon dont la mort est perçue à travers les plus grandes civilisations du monde : sumérienne, maya, chinoise, etc.), Corbeyran pose des personnages à la naïveté manifeste mais qui rend crédible une hypothèse qui a tous les atours de la farce : celle de l’exploration du « Pays de la mort. »
Le dessin de Taranzano est très efficace, arrivant à s’extraire de l’école graphique d’où il vient : le dessin réaliste des productions Bonelli pour se rapprocher de l’école réaliste franco-belge, mois rapide au dessin et plus documentée. Les couleurs de Ruby renforcent le rendu de fantastique et de science-fiction de cette série captivante. »
Dans Planète BD:
« La présente adaptation en bande dessinée est presque un passage logique, tant la narration cinématographique, façon thriller scientifique, ainsi que l’imagerie ésotérique qu’il est possible d’en retirer se font naturellement. Si Werber s’est déjà essayé à la BD avec une réussite mitigée (Exit), il a cette fois laissé la réécriture séquentielle de son œuvre à un méga pro du médium : Corbeyran (parait qu’il ne faut plus dire son prénom, maintenant…). Le récit est donc respecté à la lettre et néanmoins avec un rythme idoine. Son adaptation va jusqu’à respecter l’ouverture des chapitres par des courts focus sur les mythes funèbres vus par les diverses croyances. Le dessin est quant à lui assuré par Pierre Taranzano (Les portes de Shamballah) sur un mode semi-réaliste académique, agréable et abouti. Bref, une BD mortelle ! »
et aussi:
http://lautremonde.radio.free.fr/index.php?p=4&s=3&id=1082:
« On ne se lassera pas de le répéter : Corbeyran est un scénariste plutôt doué. Il parvient donc à adapter clairement une partie du roman choc de Bernard Werber tout au long de ces 56 pages. D’après Bernard Werber, son œuvre était complètement visuelle, tout à fait destinée à être adaptée en bande dessinée, voire au cinéma.
Le dessin très réaliste de Taranzano lui plaît. Il a le mérite de retransmettre fidèlement le propos sans en faire des tonnes ni au niveau des expressions, ni en nous assommant de décors alambiqués ni en mettant trop de mouvements. Il sait se faire discret et collé au récit, ce qui permet de rendre le tout très fluide, très abordable. »
http://www.mgrb.org/chroniques.php?chron=1172:
« L’album est plutôt agréable. Il est saupoudré d’extraits de la thèse de Razorbak, donnant les illustrations de la mort par différentes mythologies. Les dessins de l’album sont sympathiques, mais j’aurais aimé, avec un tel sujet, trouver de belles planches que l’on admire. Visiblement pas le parti pris des auteurs qui ont souhaité, plus simplement peut-être, familiariser le lecteur avec la mort.
Si le travail de Corbeyran, Werber et Taranzano pouvait convaincre les lecteurs que l’on peut regarder sa mort en face et non la zapper, comme une peur que l’on expédie… »
http://geeks-invaders.blogspot.com/2011/11/des-fois-on-lis-et-relis-un-bouquin.html#more:
« (…) je dois avouer que le résultat est bluffant.
(…) Le co-scénariste Corbeyran et le dessinateur Pierre Taranzano ont fait un boulot remarquable.
Très bien dessiné, même si cela reste légèrement statique. On retrouve l’intrigue du livre, avec il est vrai quelques raccourci, mais bien placé et justifié. »
http://climaginaire.com/index.php/climaginaire/Bande-dessinee/BD-europeenne/Le-temps-des-bricoleurs:
« Eric Corbeyran utilise tout son talent pour rendre l’histoire vivante et prenante. Et, bien entendu, elle donne envie de lire l’original. N’est-ce pas un beau cadeau pour l’auteur ?
Ceci est rendu possible par le dessin de Pierre Taranzano. D’un trait réaliste classique il arrive pourtant à donner un soupçon d’originalité dans l’ensemble. Pourtant, on ne peut pas dire que les cadrages soient particulièrement osés. Mais il est certainement le dessinateur qu’il fallait pour cette histoire. Parce que, finalement, pendant beaucoup de temps, nous ne sommes que devant des personnes qui s’interrogent sur la mort comme nous le faisons tous plus ou moins. Bien sûr, les pensées de Raoul vont beaucoup plus loin que les nôtres, mais comme certaines personnes certainement. Donc, nous avons un trait réaliste pour une histoire réaliste… sauf vers la fin où on commence à plonger dans le fantastique… quoi que, qu’en sait-on ?
Ce premier tome est donc une parfaite entrée en matière que signent les auteurs. Il me tarde de découvrir la suite. »
http://www.generationbd.com/index.php/nouvelles-bd/index.php?option=com_content&task=view&id=1695:
« Premier volume d’un triptyque, les Thanatonautes se laisse lire de manière très agréable, sans temps mort, le dessin est très sympa et les couleurs fort lumineuses. Selon ma compagne, l’album respecte bien le livre éponyme de Bernard Werber et lui donne même plus de crédibilité ; l’imaginaire étant probablement plus vraisemblable ou acceptable lorsqu’il se présente sous forme d’image que sous la forme d’un simple texte… »
http://blog-picard.fr/bulles-picardes/les-albums-sf-a-ne-pas-rater/thanatonautes-le-temps-des-bricoleurs/:
« Cet album nous offre le récit d’une aventure métaphysique, entre science et philosophie, un récit épique, parfois drôle mais toujours humain. Au final, une excellente adaptation de Corbeyran toujours à l’aise dans les univers étranges qui est bien servie par le dessin réaliste de Pierre Taranzano que l’on avait déjà agréablement rencontré dans « Les Portes de Shamballah ». Si vous ne connaissiez pas le roman, voici une façon plaisante de le découvrir. »
Bon, OK, je n’ai mis que les critiques positives… Mais c’est mon blog, je fais ce que je veux!
Pour égayer un peu l’article, voilà le crayonné de la première planche du tome 2:
Et quelques dessins de dédicaces:
Pour finir, je serai en dédicace au Carrefour de Digne les Bains le samedi 14 janvier, avec Sophiane Nemra.
Bonne année à tous!