Archive pour les portes de shamballah

ALEISTER CROWLEY (extrait des « Sources de Shamballah)

Posted in Les Sources de Shamballah with tags , , , , , , , , on 16 juin 2023 by taranzano

Que dire sur Aleister Crowley qui n’ait déjà été dit et redit cent fois ? Même s’il est aujourd’hui assez peu connu du grand public, il a été l’un des plus grands occultistes du XXème siècle, a longtemps défrayé la chronique par ses frasques multiples et conserve encore une influence culturelle majeure sur notre époque, notamment par l’intermédiaire des nombreux artistes, musiciens et écrivains qui lui vouent une admiration sans borne.

Nous n’allons pas ici dérouler une biographie précise de ce personnage hors du commun, d’une part parce qu’on peut la trouver facilement dans d’innombrables livres ou sites internet, et d’autres part parce que nous aurons bien souvent l’occasion, au fil de cet ouvrage, de détailler certains épisodes de sa vie tumultueuse. Héros flamboyant pour les uns, monstre de perversion pour les autres, peu d’hommes ont pu à ce point inspirer fascination et répulsion, parfois même simultanément. Mais qui était vraiment Aleister Crowley ?


Ayant souffert dans ses jeunes années d’une éducation religieuse trop stricte à son goût, au sein d’une famille riche mais appartenant à un courant protestant fondamentaliste, il perd son père très tôt et hérite de sa fortune. Edward Alexander, qui deviendra Aleister, peut alors se consacrer à ses penchants naturels : sexe, drogue et occultisme. Il fait ses premiers pas ésotériques dans la Golden Dawn, où il entre en conflit avec Yeats d’abord, avec Mathers ensuite. Il s’enferme dans son manoir de Boleskine pour mettre en pratique le traité d’Abramelin le Mage, un rituel réputé très dangereux.


Il quitte alors la Golden Dawn pour parcourir le monde, à la recherche d’enseignements ésotériques auprès d’initiés hindous, bouddhistes, soufis ou taoïstes. Il apprend le Yoga et le tantrisme. En 1904, au Caire, c’est la rencontre avec l’entité Aïfass dont nous reparlerons plus loin, et l’écriture du Liber Legis qui résumera sa doctrine. Il crée ensuite sa propre loge, l’Astrum Argentinum, qu’il rêve comme le poste de pilotage d’autres organisations comme la Golden Dawn, entre autres. Il est admis dans l’O.T.O. dont il deviendra le maître en 1923. Il fonde aussi l’Abbaye Thelema à Cefalu, en Sicile, qui se distinguera par des rituels particulièrement violents. Deux personnes trouveront la mort en ces lieux, dans des circonstances douteuses : sa propre fille âgée de 5 ans, et un certain Raoul Loveday, dont l’épouse était la maîtresse du gourou. Voilà pour la partie occultiste.


Mais Crowley a aussi été un aventurier dans tous les sens du terme. Voyageur infatigable, il a arpenté tous les continents et a été un alpiniste de haut niveau. Il a côtoyé de nombreuses célébrités de son époque, épousé plusieurs femmes et multiplié les aventures sentimentales, aussi bien hétérosexuelles qu’homosexuelles. Il a méthodiquement expérimenté la plupart des drogues et des formes littéraires. Il a aussi essuyé de nombreux revers de fortune, gagné et perdu quantité de procès. Un temps germanophile et proche des indépendantistes irlandais, il a également travaillé pour les services de renseignements britanniques comme agent double, triple, on ne sait plus. Voici une note amusante rédigée à son sujet, dans un rapport qu’aurait retrouvé Pierre Mariel : « Agent assez maladroit, toujours à court d’argent, d’une moralité corrompue. À n’utiliser qu’en prenant de très grandes précautions. »


« Fais ce que tu veux sera le tout de la Loi. » Ainsi se résume la doctrine du Liber Legis, le Livre de la Loi. Là où certains y voient un appel à la débauche et au laisser-aller le plus total, les adeptes de Crowley rétorquent qu’il s’agit de trouver, non pas la satisfaction d’appétits éphémères, mais la réalisation de notre Volonté profonde, le moteur intime de notre être. « Chaque homme et chaque femme est une étoile », voilà un autre axiome cher à Crowley. Il signifie que chaque être doit poursuivre sa propre trajectoire, qui ne heurtera jamais celle des autres. Pourtant, le Livre de Loi dit plus loin : « le jour de votre courroux, piétinez les hommes inférieurs avec votre désir violent de fierté. » Comme quoi, si certains sont des étoiles, d’autres sont d’insignifiants astéroïdes, qu’il convient de mépriser et qu’on est libre de torturer. « Écrasez le misérable et le faible (…) Tuez et torturez ! »  La plus grande partie du livre est d’une violence extrême, appelant au meurtre, à la torture, au sacrifice d’enfants, à la consommation du sang humain. « Sacrifiez le bétail, petit et gros et après, un enfant. »


Délire poétique ? Parodie trash de l’ancien testament ? Il y a de ça dans le Liber Legis. Toujours est-il que le livre est devenu le socle spirituel des nombreuses organisations ésotériques gérées pas Crowley. Lui-même aurait admis avoir sacrifié des centaines d’enfants. Là encore, certains le défendent et y voient une allusion ironique à la magie sexuelle : retenir l’éjaculation reviendrait à sacrifier les enfants à naitre… On est moyennement convaincu ! Quand bien même cela ne serait que du deuxième degré, le fait est qu’un tel enseignement peut être pris au pied de la lettre. D’où, sans doute, les innombrables témoignages sur les agissements abominables de réseaux satanistes, comme nous le verrons plus loin. D’autant plus que le Livre de la Loi dit aussi que rien n’est réel, on peut donc assouvir ses pires instincts sans le moindre remords ! Toujours dans le même registre, un de ses poèmes, l’Hymne à Pan, contient ces vers : « À travers le solstice acharné à l’équinoxe / Je m’extasie ; et je viole et j’arrache et je déchire. »


« Avant qu’Hitler fut, je suis ! » Ainsi se qualifiait de manière énigmatique celui que la presse britannique désigna comme « l’homme le plus pervers du monde ». À sa mort, le Lord Chief of Justice en personne (l’équivalent du ministre de la justice britannique) déclara : « Aleister Crowley était le personnage le plus immonde et le plus pervers du Royaume-Uni. » Avait-il des dossiers sur le personnage ? Pourtant, il ne fut jamais inquiété par les autorités de sa Majesté, mais seulement expulsé d’Italie par le gouvernement de Mussolini, suite aux scandales de l’Abbaye Thelema.


Si l’on juge un arbre à ses fruits, force est de constater que Crowley n’a pas vraiment semé le bonheur et la sérénité sur sa route, mais plutôt la souffrance, la folie, l’alcoolisme voire la mort dans certains cas. Lui-même a fini sa vie dans des conditions difficiles, seul, démuni, en proie à l’addiction aux drogues, décharné après avoir connu une période d’obésité. Il avoua d’ailleurs avoir échoué dans sa quête. Le Dictionnaire des Sociétés Secrètes (opus déjà cité) rapporte qu’il aurait, sur son lit de mort, maudit son médecin qui lui refusait de la morphine. Le médecin aurait péri le surlendemain dans un accident de voiture.


Malgré tout cela, le mage anglais a de fervents admirateurs. L’écrivain ésotériste Robert Amadou l’a qualifié en ces termes : « Le plus grand, le plus inquiétant et, peut-être, le seul magicien du vingtième siècle… » Le général britannique J.F.C. Fuller, ancien ami et disciple de Crowley, déclara qu’il le considérait comme « le génie le plus extraordinaire qu’il ait rencontré. » Sa philosophie hédoniste, son goût pour la provocation, sa vie aventureuse et sa poésie violente ont particulièrement séduit les musiciens de rock. Entre autres Jimmy Page, David Bowie, les Beatles, Ozzy Osbourne, Bruce Dickinson (le chanteur d’Iron Maiden, qui a co-scénarisé un film consacré à « La Bête »), et un nombre incalculable de groupes de métal. Et en réalité, qui est plus rock’n Roll que Crowley ? Le sexe, la drogue, la violence, la volonté d’ouvrir des portes sur d’autres mondes par tous les moyens, le refus des règles, des conventions, du monde bourgeois, l’envie de vivre des expériences fortes, « blasphème, meurtre, viol, révolution, n’importe quoi, de mal ou de bien, mais de puissant ! », l’errance et la déchéance elle-même, n’est-ce pas là l’essence même du rock ?


A-t-il été aussi méchant qu’on le dit (et que lui-même le prétendait), ou tout cela n’était-il qu’une sorte de mise en scène ? Difficile de le savoir ; mais les aspects les plus sinistres de sa philosophie sont à l’œuvre actuellement dans le monde réel, comme nous le verrons dans le chapitre consacré aux sacrifices rituels, et cela se passe dans des cercles proches de pouvoir.


Quoi qu’il en soit, quel meilleur antagoniste à notre héros pouvions-nous trouver que « l’homme le plus pervers du monde » ?

Ils en parlent

Posted in L'Iliade, les portes de shamballah, On en parle with tags , , , , , , , , on 25 janvier 2017 by taranzano

Un petit bilan, quelques mois après la sortie de l’Iliade; les retours sont dans l’ensemble très positifs, et la série a été très bien accueillie par le public. Déjà la troisième réédition! Un kif personnel, voir l’image ci-dessous:
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Bon, c’est juste sur Amazon, le temps d’une journée, et OK je me la pète un peu… Mais pour une fois que je suis number one, j’ai le droit! Et quand je dis que je suis number one, c’est une façon de parler, il s’agit vraiment d’un travail d’équipe, je ne suis qu’un maillon de la chaîne.

Un florilège des critiques:

Sur Sceneario.com:

« La narration est très bien aérée, avec ce qu’il faut de dialogues, d’action, on comprend tout à fait les enjeux et les diverses manigances ! C’est parfait !

Graphiquement, c’est du travail plus qu’honnête. Les décors, les détails vestimentaires, les différents portraits proposés dans ces planches sont extrêmement précis et subtiles. Pierre Taranzano nous propose un excellent album, remarquablement mis en couleur par Bruno Stambecco.

Ce qui aurait pu être un exercice un peu casse gueule se conclue par un très beau premier volume, que je vous conseille vivement! »

Sur BD-Gest:

« les séquences s’enchaînent facilement et il est finalement aisé de (re)plonger dans ce mythe universel et de se laisser porter par la fluidité de la narration et le rythme assez élevé, la scénariste ne s’embarrassant pas d’éléments trop complexes.

Sous la direction artistique (création de l’univers graphique et des story-boards ainsi que supervision des différents crayonnés pour maintenir une certaine homogénéité) de Didier Poli, Pierre Taranzano délivre un dessin réaliste certes attendu sur ce genre de récit, mais dont il est difficile de nier l »efficacité lorsqu’il faut composer avec les nombreux personnages et faire ressortir le caractère épique de l’aventure. »

Sur BD-Theque:

(extraits de 3 avis)

« Objectivement cet album est une franche réussite. Le dessin de Pierre Taranzano est stupéfiant de part son trait fin d’une grande richesse, certaines de ses compositions en double page sont à se taper le cul par terre et nul doute que l’apport de Didier Poli à la conception graphique n’y est pas innocente. »

« Ici encore, j’aime le dessin qui possède une similitude avec celui de Prométhée et la boîte de Pandore, il est peut-être plus costaud. Et là aussi, Clotilde Bruneau réussit du beau travail en adaptant cette guerre de Troie et en déroulant les épisodes connus : les origines du récit, la pomme de Discorde, le jugement de Pâris, la colère d’Achille, l’orgueil du fier Agamemnon… »

« Le récit est fidèle à celui d’Homère. Comme lui il ne raconte pas la Guerre du Troie du début à la fin mais seulement une période précise peu de temps avant sa fin. Les auteurs font quand même le choix d’ajouter quelques flash-back permettant d’expliquer mieux la situation et notamment, pour ce qui est du premier tome, toute l’histoire autour de la Pomme de Discorde qui fut le véritable déclencheur de ce qui allait devenir le conflit entre Troyens et Achéens. En ce sens, la complexité des relations entre Dieux et comment ils manipulent les hommes pour parvenir à leurs fins est très bien rendue. C’est intelligent, bien raconté, clair et bien rythmé. »

Sur Forty Five Weeks:

« Le dossier de presse m’avait déjà séduite, la lecture des deux premiers albums a fini de me convaincre : pour moi c’est une réussite. J’ai effectivement eu l’impression d’un scénario souhaitant respecter les sources antiques, sans « pollution hollywoodienne », ainsi que l’exprime Luc Ferry (à l’origine de la collection). D’autre part, les costumes et accessoires sont représentés d’une façon conforme aux découvertes archéologiques (…)

L’ensemble forme, à mon goût, un parfait mélange de réalisme et de magie. Bref, bonne pioche ! »

Sur France net infos

« Les deux bandes dessinées sont plaisantes à découvrir et à lire, pour suivre ces dieux ou ces héros de la mythologie, qui font partie de la culture générale. Une approche ludique, sous ce format plaisant qui parlera à tous, petits et grands. Une fascination qui n’en finit pas pour ces mythes et ces différents récits fondateurs qui s’emparent ici, plutôt bien, de la bande dessinée. »

Sur Izneo

« L’histoire est très bien racontée. Les dessins sont très beaux. On a même droit à des explications supplémentaires en fin d’albums, pour compléter nos connaissances. On voit ce qui se passe aussi chez les dieux, qui se font la guerre entre eux, avec un Zeus qui se trouve au milieu de toutes les querelles. Mais l’histoire n’est pas terminée. Vivement la suite. »

Sur l’Avis Indépendant:

« Ceux qui sont fans de la mythologie grecque retrouveront des images magnifiques.
En couverture intérieure, on peut y lire les différents dieux et déesses grecs.
C’est une manière plutôt agréable de découvrir une œuvre majeure.
Ouvrage bien illustré et agréable à lire, un moyen facile de se cultiver. »

Sur Unidivers:

« N’allez pas chercher plus loin si vous souhaitez faire un cadeau intelligent à vos chères têtes blondes : cette collection, destinée à se développer, répond à vos attentes. L’exactitude historique est, sous tous ses aspects, rigoureusement respectée. »

Et même sur Historia:

« Très fidèle au texte original, le scénario ne raconte pas l’ensemble de la guerre de Troie, mais se focalise sur la querelle des chefs grecs et la colère d’Achille. En revanche, le dessinateur a dû opérer des choix autant esthétiques qu’historiques, car les poèmes homériques intègrent des éléments anachroniques entre eux – et on ne sait toujours pas vraiment quand s’est déroulée cette guerre, ni même si elle a eu lieu. Les hommes qui s’affrontent ont plus ou moins l’apparence de guerriers du IIe millénaire av. J.-C. – certains arborent même ces casques de cuir couverts de défenses de sanglier décrits par Homère et retrouvés lors de fouilles. »

Et en bonus, une chroniques très positive aussi du tome 4 des Portes de Shamballah, sur Sceneario.com:

« Force est de constater que ce dernier tome garde toute sa puissance mystique et nous livre, au travers d’un travail aiguisé sur l’interpénétration de différentes époques, une équipée fantastique énergique, portée par une intrigue prégnante (…) La prestation picturale de Pierre Taranzano sur cet album reste à la hauteur des opus précédents. Œuvrant dans un réalisme très agréable et bien inspiré, son dessin met en avant un message clair, dynamique à souhait et découpé adroitement. On saluera tout particulièrement ses planches en couleurs directes où il représente le monde éthéré et celles avec des aplats de noir qui suscitent bien des sensations (le rituel d’invocation d’Aïfass par exemple). »

Interviou

Posted in On en parle with tags , , , , , , on 4 avril 2014 by taranzano

Un entretien au salon du livre de Paris avec « Le Cercle des Volontaires« , média indépendant et alternatif sur le net:

Le Manoir des Chimères

Posted in On en parle with tags , , , , , , on 28 mars 2014 by taranzano

Une nouvelle émission en ligne sur les cultures de l’imaginaire, avec une interview de mézigues en personne (vers 1mn40):

Planning des dédicaces 2012

Posted in Festivals et dédicaces with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , on 23 février 2012 by taranzano

A noter: j’ai annulé ma participation aux festivals de Conches ((25-26 aout), Le Puy en Velay (8-9 septembre) et Bras (29-30 septrembre), pour cause de grosse charrette dans le bouclage du tome 2 des Thanatonautes.

10 et 11 mars : Festi-BD de Moulins (03)
Samedi 17 mars (15h_19h): Fnac Toulon, avec mes collègues Bauza et Nemra
(La séance prévue le samedi 24 mars à Marseille a été annulée par la FNAC)
5 mai: Fnac Marseille La Valentine, encore avec Bauza et Nemra, ainsi que mon co-scénariste Axel Mazuer
19 mai: salon du livre de Nyons (26)
9 et 10 juin: Festival des Jeunes Auteurs de Saint Geoirs (38)
7 et 8 juillet: Festival « Ar’Lire » à Montfroc
Samedi 11 août: premier Festival BD de Digne les Bains
17 août: salon du livre de Sisteron
2 septembre: Moustier coince la Bulle
20 et 21 octobre: Festival littéraire de Saint Maximin la Sainte Baume (83)
24 et 25 novembre: Festival BD de Clairac (47)

Le 15 décembre: Dédicace à la librairie Forum BD à Manosque, avec Gregory Delaunay (Sylf) et Paul Marcel (Le Malvoulant, le Scarabée d’Or)

Rien après le 20 décembre puisqu’il y a fin du monde; on reprendra en 2013!

Une BO pour SHAMBALLAH?

Posted in les portes de shamballah with tags , , , on 20 janvier 2012 by taranzano

Pourquoi pas? C’est ici

Shamballah-ballah, Shamballah-ballah, nanana…

Posted in les portes de shamballah with tags , , , , , on 13 décembre 2011 by taranzano

Allez, juste pour le fun, quelques images de Shamballah (Tome 3).
Non, non, c’est cadeau, ça me fait plaisir!

Planning des dédicaces

Posted in Festivals et dédicaces with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , on 25 octobre 2011 by taranzano

Alors ça démarre en fanfare avec une séance de dédicaces à la Librairie de Paris, le jeudi 27 octobre de 18h à 20h, avec Bernard Werber et Eric Corbeyran en personne, excusez du peu!

Dans la foulée, départ pour Saint Malo, toujours en compagnie de Corbeyran; je dédicacerai les 3 jours de 15h à 19h.

Le 5 novembre, je serai au festival BD de Trets.

Les 18, 19 et 20 novembre: Fête du Livre du Var (à Toulon)

Le samedi 3 décembre, dédicaces à la librairie Charlemagne à La Seyne sur Mer, à partir de 15h.
Dimanche 4 décembre, je serai au salon Lecture en Fête à Roquebrune Cap Martin (06).

Dimanche 11 décembre, dédicaces à la bibliothèque de Thoard, de 10h à 12h30.

Et enfin, le samedi 17 décembre, les « Crétins des Alpes » seront en force à la librairie Forum BD de Manosque, avec mes amis du 04 Olivier Bauza, Sophiane Nemra et moi-même.

Ouf! C’est tout pour le moment… et c’est déjà pas mal!

X-Mains

Posted in Festivals et dédicaces with tags , , , , , , , , , , on 26 septembre 2011 by taranzano

Avis aux amateurs (et aux professionnels aussi, y’a pas de raison!), surtout si vous êtes dans le le 04 ou pas loin, je participe à l’expo évênement X-Mains, organisé par la Médiathèque Intercommunale des 3 Vallées, en partenariat avec l’Ecole des Beaux-arts et les Rencontres cinématographiques, avec Pascal Rabaté, Jaco Van Dormael, Johan Troïanowski
et les anciens élèves de l’Ecole des Beaux-arts. Au programme: expo de planches, projection de films, rencontres-ateliers avec les auteurs, concours et tutti quanti.

Pour ma part, j’animerai des ateliers BD à la médiathèque les 1er, 5 et 19 octobre (l’après-midi), suivis de séances de dédicaces. Vernissage de l’expo le 27 septembre. Enfin, toutes les infos sont ici:

et là:

A bientôt!

Le Nôôôôôôôôrrrrd!

Posted in Festivals et dédicaces with tags , , , , on 13 Mai 2011 by taranzano

Je serai ce week-end au Salon de la BD et des arts graphiques de Roubaix, et les 27 et 28 mai au Salon du livre de Betting (Centre Leclerc), en Moselle. 2 voyages dans le Grand Nord en perspective…